CoS, Cabinets, free… À qui le CEO doit faire appel?
Cabinet de conseil, Chief of Staff en conseil, part time ou CDI, freelances experts…
Le CEO ou le Comex doit faire appel "à qui, pour quoi, quand"?
Nous avons souvent la question de CEO, de DRH ou encore de fonds d’investissement qui ressentent un besoin mais qui ont souvent été déçus par le format que prend l’accompagnement par des prestataires de services
On entend souvent :
“Ultra cher!”, “Pas de ROI”, “Ils ont juste synthétisé ce que nous savions déjà mais dans un beau powerpoint”, “Beaucoup de conseils mais au final, c’est nous qui avons mis les mains dedans”, “Ils nous ont laissé en vrac”...
Bref, il y a de la méfiance envers les prestataires de conseil !
Comme tous les achats, ça s’achète! Il y a des règles et des bonnes pratiques.
Comme tout secteur, il faut un peu s’y connaître pour s’y retrouver.
Comme tout “deal” ça se suit, ça se pilote.
Comme toute relation, il y a des droits et des devoirs des deux côtés.Nous faisons toujours le même constat chez Pakomdab.
La plupart des grandes déceptions proviennent d’un besoin mal identifié et pour lequel l’entreprise a sélectionné une solution mal adaptée.
Nous disons souvent à nos clients que la fonction du Chief of Staff est rentabilisée très souvent simplement par le ROI apporté sur la ligne “prestataire de services” d’une boîte. Et ce dès la première année:
Soit parce qu’il peut souvent remplacer de manière efficace un cabinet de conseil.
Soit parce qu’il va piloter un ou deux freelances versus un gros cabinet.
Ou tout simplement parce qu’il va sélectionner, challenger et suivre la prestation d’un service.
Toutes ces options dépendent de la situation, de la présence d’un Chief of Staff ou non dans les effectifs ou encore évidemment de la taille de la boîte.
Notre synthèse en matrice récapitulative
Si je suis CEO ou C-LEVEL d’une PME :
Si je suis CEO ou C-LEVEL d’une ETI :
Si je suis CEO ou C-LEVEL d’un grand groupe :
Avec une logique différente pour les start ups fonction de leur levée de fonds:
